Recherches sur le spectre solaireW. Schultz, 1868 - 42 síður |
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2ième spectre Angström B₁ bande Cadmium calculant carbone Cinquième spectre Raies coefficient coïncide collimateur correction d'absorption d'onde des raies D₁ décimètre déterminations des longueurs Différence Sixième spectre dilatation distance distance angulaire DITSCHEINER égale formule glace fondante HARVARD COLLEGE OBSERVATORY Hydrogène j'ai l'aide du réseau l'axe l'étalon d'Upsal largeur du réseau lignes log r Longueur d'onde Différence longueur de l'étalon lumière lunette machine à diviser MASCART mesures micrométriques métal mètre d'Upsal mètre prototype microscope moyenne de Longueur NORMAL DU SOLEIL normale du réseau observations obtenues photosphère planches principales de Fraunhofer raics raie B raie double raie forte raies d'absorption raies de Fraunhofer raies Fraunhofériennes raies principales raies spectrales raies telluriques située Sixième spectre Cinquième spectre Cinquième spectre spectre normal spectre Quatrième spectre spectre Raies mo spectre solaire spectres d'un ordre talons température THALÉN théodolite traits très-forte TRESCA Valeur moyenne valeurs des longueurs vapeur d'eau vis micrométrique Zinc
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Síða 42 - ... lumière de l'arc lumineux est sensiblement monochromatique. » Voici une circonstance qui donne à cette observation sur le spectre de l'aurore boréale une importance beaucoup plus grande, et, pour ainsi dire, cosmique. » Durant une semaine du mois de mars 1867, j'ai réussi à observer la même raie spectrale dans la lumière zodiacale, qui se présentait alors avec une intensité vraiment extraordinaire pour la latitude d'Upsal. Enfin, pendant une...
Síða 42 - A une seule occasion, quand l'arc lumineux était agité par des ondulations qui en changeaient la forme, j'ai vu les régions signalées s'éclairer momentanément de quelques faibles raies spectrales; mais, eu égard au manque d'intensité de ces rayons, on peut dire néanmoins que la lumière de l'arc lumineux est sensiblement inonochromatique.
Síða 42 - Un fait remarquable, c'est que la raie signalée ne coïncide avec aucune des raies connues dans les spectres des gaz simples ou composés, pour autant, du moins, que je les ai étudiées jusqu'à présent. » II suit de ce que je viens de dire, qu'une aurore boréale intense, telle qu'on peut l'observer au-dessus du cercle polaire, donnera probablement un spectre plus compliqué que celui trouvé par moi. Supposé que cela soit vrai, il y aura donc à espérer qu'à l'avenir on pourra expliquer...
Síða 42 - ... alors avec une intensité vraiment extraordinaire pour la latitude d'Upsal. Enfin, pendant une nuitétoilée, tout le ciel étant en quelque sorte phosphorescent, j'en ai trouvé des traces même dans la faible lumière émise de toutes les régions du firmament. » Un fait remarquable, c'est que la raie signalée ne coïncide avec aucune des raies connues dans les spectres des gaz simples ou composés, pour autant, du moins, que je les ai étudiées jusqu'à présent. » II suit de ce que je...
Síða 42 - Sa lumière était presque monochromatique et consistait dans une seule raie brillante, située à gauche du groupe connu des raies du calcium. En mesurant la distance de ce groupe, j'ai déterminé la longueur d'onde de la raie, qui s'est trouvée égale à A = 5567.
Síða 42 - Cette observation fut communiquée à la Société des Sciences d'Upsal, le 16 février 1868. J'eus, pendant l'automne de 1867, l'occasion de communiquer verbalement cette même observation sur le spectre de l'aurore boréale à MO de Struve, et, en mai 1868, j'ai eu la satisfaction de recevoir...
Síða 39 - ... différents. C'est le contraire qui est exact. En effet en augmentant successivement la température, on trouve que les raies varient en intensité d'une manière trèscompliq'uée, et que, par suite, de nouvelles raies peuvent même se présenter, si la température s'élève suffisamment. Mais, indépendamment de toutes ces mutations, le spectre d'un certain corps conservera toujours son caractère individuel."* Angstrtim did noî object merely on theoretical grounds.
Síða 41 - Kundt. De plus, les deux phénomènes de l'aurore boréale et du magnétisme terrestre étant si intimement liés l'un avec l'autre, que l'apparition de la première est toujours accompagnée de perturbations exercées sur l'aiguille aimantée, on a donc pu supposer que l'aurore boréale n'était qu'une lueur électrique, analogue à celle que produit l'air raréfié dans l'œuf électrique, ce qui n'est pourtant pas le cas.
Síða 41 - Cette Note est la reproduction du dernier article des Recherches sur le spectre solaire, que nous avons signalées dans notre Revue à l'attention des physiciens. Je le copie textuellement : « Depuis l'époque où Franklin faisait ses mémorables expériences sur la foudre jusqu'au temps actuel, un parallélisme complet a été établi entre les actions de cette force naturelle et celles de l'électricité de frottement. Ainsi, l'on a pu prévoir que le spectre de l'éclair devait être le même...
Síða 38 - Plucker, qu'un corps élémentaire pourrait donner, suivant sa température plus ou moins élevée, des spectres tout-àfait différents. C'est le contraire qui est exact. En effet en augmentant successivement...